Le week-end dernier était celui de la Coupe de France. Celui où les plus grands clubs du pays peuvent faire face à des semi-professionnels, ayant uniquement le football comme passion et non comme travail à temps plein. A l’origine premiers rendez-vous de l’année, ils ont laissé place à un « Boxing Day » discutable dans la forme. Malgré cet extrasportif, la Coupe de France est venue avec son plus bel accessoire. La magie.
Week-end ou non, la Coupe de France démarrait le vendredi. Même pas en prime time de plus, les premiers matchs commençaient à 18 heures. Tout cela pour une nouveauté : le passage de flambeau de diffuseur. Après Eurosport, place au groupe qatari Bein Sports, ayant fait le choix de montrer l’intégralité de ces 32èmes sur ses nombreux canaux. Comprenant ainsi des affiches opposant deux écuries de National 2, ce qui n’était pas du tout le cas sur Eurosport. Il fallait même prier pour espérer voir ces matchs dans un multiplex, sans parler des droits pour les matchs des tours précédents. Malgré cette belle avancée pour le téléspectateur, le spectateur passionné gronde. Les matchs le vendredi à 20 heures font déjà soupirer en National, alors 18… Les supporters grenoblois s’en sont plaints, dans un Stade des Alpes assez morose. Heureusement, leur adversaire nîmois l’était tout autant sur le terrain, et le GF38 est allé chercher la qualification (1-0).
De l’autre rive du Sud, un autre club de Ligue 2 jouait, et ils sont venus pour faire quelque chose de grand. Le Pau FC de Didier Tholot recevait un Montpellier sur une pente savonneuse. De plus, Romain Pitau a décidé de faire souffler son leader, Teji Savanier, et lancer un trio d’attaque Makouana – Germain – Nordin. Que pourrait-il mal se passer ? Comme vous pouvez vous en douter, Montpellier a maîtrisé les débats sur une grande partie du match. Avec un Khalil Fayad remplaçant au pied levé, assurant par ses passes osées et ses efforts défensifs.
Seulement voilà, sa performance n’a pas été mimée par ses camarades. Trop d’imprécisions, attaque coupée du reste de l’équipe, et une défense encore prompte aux erreurs. Malgré une charnière Sakho-Estève, c’est bien Pau qui ouvrira le score grâce à Mons Bassouamina. Et même si Valère Germain sort de sa boîte pour égaliser, le palois tueront le match grâce au costaricien Mayron George, qui n’avait pas marqué depuis son retour. La Paillade continue de couler, et ce n’est pas Didier Digard qui les aidera à aller de l’avant. Les Maynats refont l’exploit de sortir une équipe de Ligue 1 (3-2 contre Bordeaux, saison 2019-2020), et devront croire au miracle contre Lille pour retourner en huitièmes.
Du côté de ceux qui y ont cru, il y a Châteauroux, qui affrontait le PSG à Gaston-Petit. Un match où Michel Denisot, actuel président du club de National, et ancien du club de la capitale, allait regarder jouer avec une équipe devant lutter contre toute attente pour rester en National, le champion de France a fait plaisir à ses supporters. Non pas avec des stars, mais avec des titis. Gharbi, Bitshiabu, Zaïre-Emery sur le terrain, Housni en fin de match et Ayman Kari sur la feuille. Tous étaient là pour se lancer dans le bain et engranger du temps de jeu, et ont répondu présent ! A l’inverse, les briscards de la Berrichonne l’étaient tout autant. Paul Delecroix a signé de jolis arrêts, Jonathan Mexique a profité d’espaces et même Nolan Roux a pu placer une passe décisive ! Mais il n’y aura pas de miracle. A dix minutes de la fin, Carlos Soler et Juan Bernat crucifieront le Berry. Malgré tout, la prestation est à retenir, celle d’avoir fait souffrir le leader de Ligue 1. Pour une équipe qui n’a pas gagné en championnat depuis le 12 octobre, ce n’est pas banal.
Si les premiers matchs avaient été indicateurs de jolies surprises, le week-end nous allait réserver encore mieux. Et comment ne pas commencer par Koenigshoffen ? Quartier ancestral, fondé du temps de l’Empire Romain, son club, basé en Régional 1, renaît à l’été 2020 suite à une fusion. Après avoir déjà créé la surprise au tour précédent contre Louhans-Cuiseaux (avec Julien Bègue et le minot Cyril Khetir), les voilà arrivés contre Clermont. Pour préparer ce match, leur entraîneur Amar Ferdjani bouleverse les choses. Passage en 5-4-1, avec une volonté de partir en contre lorsque chaque occasion se présentait. Même si le danger n’a pas souvent été au rendez-vous, le côté défensif a été parfaitement assimilé. Strasbourg tiendra le coup pendant 90 minutes. Ce malgré les menaces offensives qui se sont relayées : Andric, Bela, Baiye, Kyei, Allevinah, Massolin… Même le pauvre Muhammed Cham s’égosillait sur ses partenaires au bout du chrono. Rien n’y fera. Formé au RCSA, Corentin Schmittheissler tiendra ses cages avec quatre arrêts. Tandis qu’Alexis Mouakit sera le leader de la charnière centrale, ce qui ne changera pas lorsque Clermont poussera fortement en seconde période. Lui qui ne voulait pas passer pour un plouc, c’est réussi.
Une fois la séance de tirs aux buts arrivée, le capitaine Mohamed Cherief galvanise ses troupes. Il donnera même l’exemple en transformant le premier essai. Côté Clermont, ce n’est pas la même confiance. Car si Ouparine Djoco en sauvera un, Jim Allevinah et Baïla Diallo manqueront le leur, poussant l’écurie Gastien vers la sortie. Pendant qu’Herman Kekambus rentre le dernier penalty et danse, tout Koenigshoffen s’embrase. Ils en ont bien le droit, après tout. Une équipe de R1 vient de sortir une équipe de Ligue 1. Cinq divisions d’écart. Cela n’était arrivé que cinq fois dans toute l’histoire de la Coupe de France, c’est dire ! La dernière fois remontant en 2019 avec Viry-Châtillon, qui ne sortait non pas Sucy-en-Brie, mais Angers. C’est d’ailleurs le SCO que nos strasbourgeois affronteront au tour suivant, le 21 janvier. Cette fois-ci, ce sera au Stade de la Meinau. Ce ne sera plus un quartier derrière eux, mais une ville de 300.000 habitants !
Des gardiens auteurs de grandes prestations en Coupe de France, il y en aura toujours. La preuve avec Jonathan Millieras, ayant connu la Ligue 2 avec Châteauroux durant quelques années, puis Andorre et Yzeure. Mais ce soir-là, c’est les cages du Puy-en-Velay qu’il a défendu et de quelle manière ! Même si bien tranquillisé par une défense à cinq qui aura fait le travail, le dernier rempart aura brillé.
Le tout contre l’OGC Nice, qui encore une fois sera bien en peine à se procurer des occasions franches. Le pompon arrivera dès la troisième minute de jeu, où Mohamed Ben Fredj, prêté par Auxerre, va se balader, repiquer et mettre un très joli but dans les cages de Schmeichel. Pour un minot passé par le centre de formation de l’OM, ce but a dû faire plaisir. C’en sera trop pour INEOS, qui virera Lucien Favre sur le champ, pour poser la dernière pierre d’un retour raté.
Pourtant, le scénario le plus hitchcockien de tous arrivera à une autre équipe de la Côte d’Azur. Nulle autre que l’AS Monaco. Tout allait bien pour eux en plus, avec deux buts marqués en un quart d’heure, par le duo Akliouche / Ben Yedder. Mais le cerveau semblera vite se relâcher. Pile avant la pause, Rodez va revenir au score, et le titi parisien Sébastien Cibois va enchaîner les arrêts. De quoi leur redonner confiance. Cette confiance se concrétisera à la 80e, après un cafouillage, lorsque l’ancien du Rocher Aymen Abdennour va placer une volée pleine lucarne. Un match à l’image de la saison de l’ASM : inconstante.
En face, le gardien monégasque a fait du mieux qu’il pouvait. Thomas Didillon, vivement critiqué du temps de Metz, a fait ce qu’il pouvait pour éviter le drame. Une superbe parade sur Clément Depres en fin de match, et un penalty arrêté durant la séance. Mais rien n’y fera. La puissance de l’Aveyron aura eu raison de Monaco, et tend à rêver d’un remake de la saison 2008-2009. Magnifique, pour une équipe qui attendait un déclic depuis le départ de Laurent Peyrelade.
Les équipes amateurs en Coupe de France, ce n’est pas qu’une simple histoire de miracles. Il y a aussi ces matchs entre écuries de basses divisions, prenant quelque peu de paillettes au fil de la compétition. Encore plus cette saison, avec la diffusion de ces matchs sur une chaîne de télévision. C’est donc ainsi que nous avons pu voir le RC Pays de Grasse, équipe de Paulin Puel, présente depuis quelques saisons en National 2. Face aux réunionnais de la Tamponnaise, qui ont fait onze heures de vol, le boulot a été rempli. Domination des azuréens, qui payera dès le premier quart d’heure, grâce à leur défenseur Youssef Gazzaoui, et qualification historique en seizièmes ! L’Outre-Mer a bien bataillé, mais nous fait ses adieux.
La Coupe de France connaît aussi des équipes plus souvent habituées aux exploits, aux bons parcours de septembre à janvier. Comme si c’était dans leurs gênes. C’est le cas de Thaon. Dernière équipe lorraine en jeu, ils avaient tenu la saison dernière contre le Reims d’un Alexis Flips, où Fraser Hornby les crucifiera à la 91e. Mais cette année, ils ont fait encore plus fort. Cela va commencer au huitième tour, à la mi-novembre, où ils arrivent à sortir Sochaux aux penaltys, après être revenus deux fois au score. Il faudra demander à Samuel Laurent si cela leur a laissé des traces. Ils auraient pu s’arrêter là, mais pensez-vous !
Toujours dans les Vosges, Thaon recevait Amiens, actuel cinquième de Ligue 2, et les a forcé à un match fermé. Les picards ont à peine fait tourner leur effectif, mais ils ne trouveront jamais la faille. Même lorsque le capitaine adverse, Wilfried Rother, se fera expulser à la 50e minute. La faute à un gardien auteur d’une performance magique, le dénommé Raphael Rodriguez. Rassurant sur les rares tirs cadrés amiénois, il sortira les penaltys d’Hassane Bandé et Siriki Diabaté. A voir s’ils seront capables de réitérer cet exploit contre Nantes.
Mélange entre habitués et confrontation entre semi-pros, le Stade Plabennecois est là. Equipe dominante et très offensive en National 3 (24 buts en onze matchs), les représentants du Finistère ont encore déjoué les pronostics. Après Cholet, voilà que Plabennec est allé chercher les seizièmes en allant gagner par deux buts contre Vannes (N2). Ils atteignent donc ce stade pour la quatrième fois en vingt ans. Pas tout mal pour une ville de 8.000 habitants.
Autre revenant, l’ASM Belfort, qui va ravir une nouvelle fois la Franche-Comté. Après un magnifique quart de finale en 2020 en sortant Nancy puis Montpellier, les hommes d’Anthony Hacquard font leur retour en seizièmes de finale ! Leur parcours sera cependant moins épique, maîtrisant 3-1 Saint-Quentin, autre équipe de leur groupe de National 2. Le tout porté par leur meneur de jeu Aïssa Mazeghrane, qui aura peut-être une trajectoire à la Kevin Hoggas. Il aura le loisir de le prouver contre Annecy, détruisant tout sur son passage…
Une équipe ayant aussi fermement fait respecter la hiérarchie, c’est Les Herbiers. Finaliste historique de 2018, les vendéens luttent ardemment pour un retour en National (dans le même groupe que Vierzon par ailleurs). Opposé au Stade Pontivyen (R1), déjà aperçu à ce stade de la compétition, on pouvait craindre pour eux un vrai exploit. Il n’en sera rien. Devant 2.000 spectateurs, dont certains ayant fait cinq heures de route un dimanche après-midi, Les Herbiers domineront leur adversaire avec deux buts dans la demi-heure de jeu. Puis seront aidés par un carton rouge d’un joueur de Pontivy. Le tout avec un superbe match des frères Pierre et Alexandre Lavenant. Les Bretons auront malgré tout été exemplaires, ne lâchant rien jusqu’au bout, alors qu’ils auraient pu se noyer. Ce qui payera avec un but pour sauver l’honneur (1-4). Les Herbiers affronteront le Stade de Reims, et se donne tous les droits de rêver. Dommage que David Djigla soit blessé.
Une équipe pour laquelle tout est nouveau, c’est Vierzon. Bon dernier de National 2 avec une série de dix matchs sans victoire, elle avait le profil parfait pour une jolie épopée. D’autant plus qu’ils s’agissaient de leur toute première fois en 32e de finale ! Coïncidence, c’était aussi la toute première fois de leur adversaire : Avoine/Chinon, leader de son groupe de National 3. En sachant qu’ils avaient réussi à faire sortir Orléans au tour précédent, nous pouvions être prêts à l’exploit. Mais la hiérarchie sera respectée. Même si leurs adversaires d’Indre-et-Loire marqueront rapidement un but égalisateur, ils lâcheront un peu mentalement, et craqueront à l’heure de jeu. Vierzon pourra remercier son milieu Yann Massombo. Formé à Strasbourg, son volume de jeu et ses deux passes décisives ont écrit une page de leur histoire. Le tout pour s’offrir un duel de mal classés contre Le Puy. Un seizième de finale que le département du Cher attendait depuis 31 ans. Pour une fois qu’il se passe quelque chose dans cette ville.
Enfin, pour parler des habitués de la Coupe, comment ne pas finir en évoquant Chambéry ? Héros de la saison 2010-2011 en allant chercher un quart de finale, les savoyards sont toujours logés en cinquième division. Et ils sont encore capables de décrocher des exploits. En déplacement en Provence, les Ours sont allés chercher Aubagne, équipe de National 2. Sur le terrain, il n’y avait pas cet écart de division. Beaucoup plus appliqués avec ballon et accompagné d’un gros impact physique, il n’y avait aucun débat sur la meilleure performance. Et si ce qui ressort de cette grosse victoire est un collectif solide, cette équipe fait parler pour deux raisons. D’abord car ils joueront Lyon au tour suivant, et ensuite pour leur mascotte.
Cette mascotte, c’est Nassim Akrour. A 48 ans, il est bien plus âgé que son propre entraîneur, et est pourtant encore présent sur les terrains semi-professionnels. Six buts en onze matchs de National 3 pour la légende d’Istres et de Grenoble. Cela en devient surhumain. Comble de la folie, c’est lui qui entrera en jeu pour dix minutes, et offrira une passe décisive à son meneur de jeu Jordan Scarantino. Histoire de sceller le match et de s’envoyer en seizièmes de finale. Si ce n’est pas de la magie, que vous faudra-t-il de plus ?
Si vous pensez qu’il est un petit peu tard pour qu’un article sur ces 32e de finale de Coupe de France sorte, vous auriez tort ! Car le fait est que ce tour vient uniquement de se terminer hier, soit le 14 janvier. Comment est-ce possible ? Pour cela, il faut remonter au 21 novembre dernier.
Huitième tour de Coupe de France, Reims Sainte-Anne, promu en N3, affronte Wasquehal, remonté en National 2. Le match se transforme en conte de fées pour les rémois. Porté par Mickael Tacalfred, les rouges et blancs avaient déjà surpris en sortant aux penaltys Fleury, autre équipe de National 2. Egalisation arrachée avec un coup-franc à la 91e de la légende rémoise. A ce moment précis, Sainte-Anne mène 3-0 contre Wasquehal à la demi-heure de jeu. Pourtant, les choses vont déraper. Stephanas Kamondji, joueur de Wasquehal, va être expulsé pour jeu dangereux.
Sûrement à bout par cette horrible entame de match, il commence à venir aux mains avec les joueurs adverses. Ce qui va vite se transformer en bagarre générale. Cette échauffourée va se répercuter sur les spectateurs, et de manière grave. Quatre hommes vont forcer la grille pour accéder à la pelouse. L’un d’entre eux mettra un coup derrière la tête de Mehdi Izeghouine, entraîneur de Wasquehal, alors qu’il tentait de séparer la bagarre. Un évènement qui va lui coûter une nuit à l’hôpital, et un dégoût du foot amateur.
Le mois suivant, après avoir bien pris le temps de prendre connaissance de tous les éléments, la commission de discipline de la FFF annonce sa décision. Reims Sainte-Anne et Wasquehal sont disqualifiés de la Coupe de France. Ce qui qualifie par conséquent le Pays de Cassel, équipe de Régional 1 qui devait affronter le vainqueur, en seizièmes de finale. Une première pour le petit poucet du Nord. Mais tout ne va encore pas se passer comme prévu.
6 janvier 2023, nouveau coup de théâtre ! Alors que les 32èmes vont débuter, le Comité Exécutif de la FFF, en accord avec le CNOSF, annonce que le match du 8e tour sera rejoué. Son vainqueur affrontera bien le Pays de Cassel en 32e. Pour résumer : une amende et c’est marre. Ubuesque. Mercredi 11 janvier, le match est donc rejoué à huis clos, à Clairefontaine, avec des scores remis à zéro. Champenois et Nordistes ne mettront pas de but pendant 90 minutes, et iront aux tirs aux buts. Cette fois, la hiérarchie sera respectée. Mickaël Tacalfred loupera son penalty, et c’est Wasquehal qui jouera un derby du Nord.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce match va tenir toutes ses promesses. Les joueurs du Pays de Cassel vont prouver toute leur valeur et ne se démontera pas. Ce sont eux qui proposent le plus de jeu, qui ont plus d’occasions franches. Ce sont eux qui tiennent tête à une équipe deux divisions plus haut. Pourtant, c’est bien Wasquehal qui mettra ce coup premier derrière la tête. 86e minute, Ahmed Bouzar, surnommé le « Belaïli roubaisien », croit avoir fait le plus dur en ouvrant le score, mais arrive un gros corner dans les arrêts de jeu. Tout le monde est aux aguets, le gardien est monté, mais c’est le capitaine Alexis Zmijak qui va prendre cette égalisation de la tête. Le tout avant que Pays de Cassel assure ses penaltys et provoque un envahissement de terrain. Une équipe de Régional 1, petit poucet des enfers, qui affronte le PSG ? Les seizièmes de finale vont aussi nous réserver du lourd.
Voilà, c’est ça la Coupe de France. De la logique souvent respectée (cartons de Lorient et Toulouse) et une grande part d’irrationnel qui vient chaque année, de tous les coins de notre pays. Passion locale, exploits David contre Goliath, des joueurs qui lancent une nouvelle histoire… Tout y est. Le genre de compétitions qui redonne foi au plus beau sport de tous. Dire qu’ils remettent déjà le couvert la saison prochaine.
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